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Etudier à l’étranger, du projet à la réalité

Kazan étudie l’informatique à Queen Mary University of London

man using laptop in front of brown chair

La genèse d’un projet d’études à l’étranger

En tant que bon joueur de golf, j’ai toujours voulu allier études et sport. Je me suis vite rendu compte que ce type de cursus était très rare en France (quand comme moi, votre but n’est pas de devenir athlète professionnel). J’ai donc commencé à me renseigner sur un projet d’études à l’étranger et notamment aux Etats-Unis, car ce type de schéma est très développé là-bas. Seulement, étant un jeune de 18 ans je ne savais pas si l’expérience que je pourrais avoir aux Etats-Unis serait la meilleure. C’est pour cela que j’ai ouvert mon esprit à d’autres destinations en Europe comme le Royaume-Uni ou les Pays-Bas.

Plus le temps passait, plus j’étais convaincu de ce que je voulais étudier : l’informatique. Et c’est alors que mon choix s’est plus penché vers l’Angleterre. Ce qui m’a vraiment séduit est la spécialisation dès la première année. J’étais convaincu que je voulais étudier l’Informatique et je ne voulais pas attendre deux ou trois ans avant de choisir une spécialisation (comme dans les programmes des écoles françaises). J’étais aussi lassé du système éducatif français : les journées interminables et la sensation que tout le monde était formaté pareil.

La préparation des dossiers de candidature via UCAS

Arrive alors la préparation du dossier UCAS. Je devais rédiger mon Personal Statement. Seulement, je me suis rendu compte que je n’avais pas d’expérience dans ce domaine d’études. Je me suis donc, pendant quelques mois, renseigné le plus possible sur le sujet en faisant des formations en ligne ou en lisant des articles spécialisés. De plus, grâce aux très bons conseils que j’ai reçus, j’ai réussi à mettre en avant le peu de connaissances que j’avais apprises. Je pense que je n’étais pas le seul dans ce cas là. Pour essayer de pallier ce manque de connaissance, j’ai mis en avant mes qualités au-delà de l’Informatique. Pour moi il s’agit du golf que je pratique depuis que je suis tout petit. Je pense donc que cela a pu faire la différence avec un dossier ayant un niveau de connaissances techniques similaire au mien.

L’excitation de partir enfin !

Les mois passent, les résultats UCAS arrivent et il est maintenant temps de partir. Je n’ai pas vraiment ressenti de pression particulière. J’étais tout d’abord très excité à l’idée de partir. Cela fait plusieurs années que je rêvais de cela et ce moment arrive enfin. De plus, j’ai été très bien accompagné pendant toute la période précédant le départ. Je savais à quoi m’attendre et je n’avais pas d’appréhension particulière.

Cependant l’arrivée à quand même été difficile. Malgré mon bon niveau d’anglais, j’ai eu l’impression de tout recommencer à zéro. Les premières semaines sont très demandantes. Il y a énormément de sollicitations et il est dur de trouver son rythme. La fatigue s’accumule et la frustration liée à la langue peut parfois rendre la vie plus difficile. Seulement, une fois cette période passée, je trouve que l’expérience n’est que meilleure et que l’on apprécie encore plus les moments sur place. On se rend compte que le temps passe très vite et qu’il faut vraiment profiter au maximum de chaque jour.

Evidemment, il est très dur de changer complètement sa vie et de reprendre tout à zéro. De vivre loin de sa famille et de ses amis. Cependant, l’université est un monde tellement actif et diverse que vous n’allez pas être le/la seul(e) dans ce cas là et que même si le début est difficile vous retrouverez vite des nouveaux repères.

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